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Non, vous n’êtes pas trop sensible : votre système émotionnel est juste en alerte

« Tu prends tout trop à cœur »,

« Il faut que tu te blindes un peu »,

« Tu es trop sensible »...


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Ces phrases, on les entend souvent. Peut-être même que vous vous les répétez vous-même. Et si on vous disait que cette “sensibilité” n’était pas une faiblesse, mais un signal d’alerte de votre système émotionnel ?



Hypersensibilité : un mécanisme, pas un défaut

Être hypersensible, c’est avant tout ressentir plus fort, plus vite et plus profondément. Les émotions ne sont pas un bug dans votre système intérieur, elles sont des messagères. Elles vous parlent d’un besoin non comblé, d’une limite franchie, d’une mémoire qui se réactive.

Certaines personnes ont un système nerveux plus réactif, et c’est biologique. D’autres ont vécu des expériences ou des schémas familiaux où l’hypervigilance émotionnelle s’est installée. C’est là que la mémoire émotionnelle et cellulaire entre en jeu.



Quand le corps se souvient pour vous

Des études en neurobiologie et en épigénétique ont montré que les émotions non exprimées ou les traumatismes passés peuvent laisser une trace dans le corps. Ces mémoires sont parfois celles de l’enfance, mais aussi de vos parents, voire de vos ancêtres.

Votre hypersensibilité peut donc être l’expression d’une surcharge invisible, d’un trop-plein intérieur que votre mental ne comprend pas, mais que votre corps exprime très clairement.



La kinésiologie : écouter votre système d’alerte

En séance, nous n’essayons pas de “vous rendre moins sensible”, mais de comprendre ce qui met votre système émotionnel en tension. Grâce au test musculaire, la kinésiologie interroge le corps pour aller chercher les blocages, les conflits, les stress cachés.

L’objectif est de remettre du calme dans le système, de libérer les émotions cristallisées, et de vous reconnecter à vos ressources intérieures.



Conseils pour apprivoiser votre sensibilité

  • Observez vos émotions comme des indicateurs, non comme des failles

  • Offrez-vous des espaces de pause et d’expression (écriture, respiration, mouvement...)

  • Évitez de vous juger. La sensibilité n’est pas un excès, c’est un langage

  • Faites-vous accompagner : psychologue, kinésiologue, thérapeute... chacun peut vous aider à remettre du sens et du souffle là où ça déborde



Et si votre sensibilité était votre plus grande force ?

Votre corps sait.

Votre système émotionnel n’est pas votre ennemi.

Il vous guide vers plus de justesse, de conscience, et d’alignement.





Et vous, que vous dit-il aujourd’hui ?

 
 
 

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